Nathalie Iannetta ou Grégoire Margotton futurs directeurs des sports à France Télévisions ?
Alors que le départ de Daniel Bilalian de la tête du service des sports du groupe public semble acquis pour l’été prochain, une fois les Jeux Olympiques passés, France Football évoque dans son édition de Mercredi les pistes évoquées au sein du groupe public pour le remplacer.
L’actuelle conseillère spéciale de l’Elysée en charge principalement de l’organisation de l’Euro 2016 pourrait l’été prochain trouver un timing parfait pour arriver sur France Télévisions. Son profil, jeune et féminin, correspond à la vision prônée par la nouvelle patronne du groupe, Delphine Ernotte. Pour rappel, Nathalie Iannetta a travaillé pendant près de 20 ans dans le groupe Canal, alternant entre le service politique d’I>Télé et le service des sports avec Jour de Foot ou le Canal Champions Club.
Toujours selon France Football, le nom de Grégoire Margotton serait également évoqué au sein de France Télévisions. Sa volonté de départ serait ainsi dans l’optique de faire autre chose que du commentaire. Néanmoins, le journaliste ne ferait plus partie du plan de départ volontaire de Canal qui devrait se terminer à la fin du mois.
Une promotion en interne ?
L’autre possibilité évoquée est la discrète promotion en interne. Ce moyen permet d’annuler le temps d’adaptation nécessaire à une arrivée extérieure, et d’éviter au maximum les soucis d’intégration du nouveau directeur. François Brabant, actuel adjoint de Bilalian, est cité par nos confrères. D’autres noms pourraient également sortir du pot pour remplacer l’actuel directeur des sports, tels que Sven Lescuyer, actuel numéro 2 des sports, ou bien Céline Géraud qui présente Stade 2.
Plus de directeur des sports ?
L’ultime possibilité serait de voir le poste non remplacé, avec le départ de Daniel Bilalian. En effet, le projet stratégique de Delphine Ernotte impliquait d’intégrer les acquisitions sportives à la direction commune des programmes. Il n’est donc pas à exclure que l’idée ait été conservée, que les acquisitions ne soient plus du domaine du service des sports, et que ce dernier soit géré à une échelle réduite.